6ème Assemblée générale annuelle de la Déclaration de la Conférence internationale de Kigali (AGA DCIK) sur le rôle des organes de sécurité pour mettre fin à la violence à l’égard des femmes et des enfants
La 6ème Conférence de l’AGA de la DCIK: Les Assemblées générales annuelles se déroulent sur une base de rotation et lors de la 5ème AGA tenue en Algérie, il a été décidé que la 6ème AGA se tiendra en République d’Ouganda en Mars 2017.
La Conférence a été tenue en dates du 6 et 7 Mars 2017. Avant la tenue de la réunion, il y a eu une série d’activités nationales d’une semaine qui ont mis l’accent sur les efforts de lutte contre la violence contre les femmes et les filles et ont culminé à la Journée internationale de la femme le 8 Mars.
Thème de l’Assemblée générale
Le thème de cette année était “Combattre la violence à l’égard des femmes et des filles: rôle des agences de sécurité et de la communauté”
Objectif global
Cette réunion visait à souligner et à réaffirmer le rôle et les responsabilités des organes de sécurité, à savoir les services militaires, policiers et correctionnels / prisons, etc. (isolément ou conjointement) pour mettre fin à la violence à l’égard des femmes et les filles sur le continent africain. Il a permis d’examiner et d’évaluer les progrès réalisés dans la mise en œuvre de la Déclaration de la Conférence internationale de Kigali.
Objectifs spécifiques de l’AG de la DCIK
- Mobiliser toutes les parties prenantes dans la lutte contre la violence à l’égard des femmes et des filles
- Renforcer l’institution familiale à lutter contre la violence à l’égard des femmes et des filles à travers la sensibilisation
- Examiner la mise en œuvre de la résolution de la 5ème AGA
- Pour montrer les efforts de l’Ouganda et partager les meilleures pratiques et les défis dans la prévention de la violence à l’égard des femmes et des filles à travers l’Afrique
- Renforcer les synergies au sein des organes de sécurité, des organismes gouvernementaux, des agences des Nations Unies, des ONG locales et internationales et du secteur privé afin d’éradiquer la violence à l’égard des femmes et des filles.